Biographie

Jean-Paul Trovero, candidat titulaire 
Un communiste au service des autres 


  • Né dans une famille ouvrière, il est le petit-fils d’un immigré italien ayant fui le fascisme. Formé aux métiers du bâtiment, toute une partie de son activité professionnelle se déroulera dans la filière nucléaire. 
  • Très tôt le besoin de s’investir au service des autres le conduit à s’engager sans compter dans le bénévolat sportif et l’action syndicale. Une démarche prolongée par la suite par l’action politique en adhérant au Parti communiste. 
  • Les valeurs dont il se revendique sont la solidarité, la justice sociale, le respect des engagements républicains et la perspective d’une société plus humaine et libérée du système capitaliste. 
  • Maire de Fontaine depuis 2014, il est président de la commission Territoires durables et du groupe communiste et partenaires à la Métro. 
  • A la tête d’une municipalité de rassemblement, il est connu pour défendre avec la même détermination, dans sa ville et à la Métro, un Service Public fort. Il met son énergie militante pour servir l’intérêt des populations concernées. 
Sophie Mazenot-Chappuy, remplaçante 
23 ans, et déja militante au long cours! 

  • En 2007, elle s’engage à gauche alors qu’elle n’a que 13 ans, refusant de se résigner au climat de haine macho, brutal, et malade de l’argent, du sarkozysme triomphant. 
  •  Elle découvre le mouvement social par la lutte contre la réforme de Xavier Darcos, qui veut « nettoyer les programmes » du lycée, et supprimer des postes d’enseignants. Elle s’impliquera plus tard dans la lutte victorieuse pour la protection du Lycée E. Mounier à Grenoble. 
  • Révoltée depuis longtemps par la marginalisation des femmes dans la société, elle se bat dans des associations pour l’égalité femme/homme, et pour le droit à disposer de son corps : elle soutient la proposition de JL. Mélenchon d’inscrire le droit à l’Interruption Volontaire de Grossesse (IVG) dans la Constitution. 
  • Étudiante boursière, en communication et en histoire de l’art, elle revendique un statut protecteur pour la jeunesse, avec un revenu minimum garanti comme outil pour l’émancipation sociale et professionnelle.

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