mercredi 31 mai 2017

Edouard Schoene: quelques raisons majeures de mon engagement auprès de Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy



A quelques jours du 1er tour des législatives voici quelques raisons majeures de mon engagement auprès des candidats Jean-Paul TROVERO /Sophie MAZENOT-CHAPPUY
Lors du débat du 30 mai à Grenoble (cf  https://www.facebook.com/fontainevercors/videos/648853935317677/) Jean-Paul TROVERO a apporté des explications précieuses sur deux questions importante :
Le rassemblement des forces progressistes, la gratuité des transports.
Les électeurs de la 3è circonscription peuvent ainsi savoir qui a, dans la continuité des efforts immenses de Pierre Laurent, depuis janvier 2016, défendu le rassemblement des écologistes, de la France Insoumise, du PCF, des forces du front de gauche, du PG, des socialistes détachés du bilan Hollande. Il n’y en a qu’un, résolument, sur la 3è, Jean-Paul TROVERO.
Sur la gratuité des transports dans l’agglomération, sur la base d’une réflexion approfondie et complexe, le candidat du PCF est le seul à se positionner pour la gratuité des transports dans l’agglomération Grenobloise
Le conseil municipal de Fontaine, de lundi dernier a une fois de plus révélé, que dans un contexte politique et économique nationale épouvantable, la majorité municipale de rassemblement et son maire, Jean-Paul TROVERO se battent contre les pressions multiples pour faire entrer la politique d’austérité à Fontaine. La droite, les écologistes et le PS, dans une convergence éclairante demandent que le personnel municipal augmente le temps de travail, pour alléger les charges !!!
Enfin, notons, c’est une question qui est au cœur des mes engagements militants, Jean-Paul TROVERO défend la CULTURE dans les actes du quotidien et dans le programme électoral du PCF.
Jean-Paul TROVERO est le seul candidat de la 3è circonscription qui a signé l’appel « Mobiliser toutes les actrices et les acteurs de la culture pour refonder et développer l’engagement des collectivités » , appel important pour la CULTURE dans le moment où les désengagements de l’état et des collectivités territoriales est lourd de conséquences (cf http://culture-38.blogspot.fr/p/blog-page.html « 
Pour rappel, le programme « la France en Commun » les communistes proposent  « un grand service public de l’art, de la culture et de l’éducation populaire » .
Je cite deux propositions : (page 37 du document téléchargeable http://montpellier.pcf.fr/95858)
« L’’organisation d’assises citoyennes, nationales et décentralisées pour élaborer, en lien avec un grand ministère de la culture aux missions transversales et interministérielles, une loi cadre d’orientation et de programmation intitulée « oser l’art et la culture » qui se substituera à celle qui vient d’être votée »
« …la loi créera les conditions d’une véritable démocratie culturelle par l’éducation artistique à l’école, l’éducation populaire dans la cité, le retour de la culture au cœur du travail »

Edouard SCHOENE, militant politique, syndical, associatif
31 mai 2017

mardi 30 mai 2017

Journal avec les signataires de l'Appel à voter Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy

Télécharger en cliquant sur l'image
Le 11 juin, votre bulletin de vote sera le moyen de vous exprimer et de décider de votre avenir ! 
Nous mettons nos candidatures, au service du rassemblement des forces porteuses d’une politique de rupture avec le quinquennat de François Hollande. 
Parmi les candidat-e-s se présentant à vos suffrages sur cette circonscription : je suis le seul à avoir résolument parrainé avec clarté, une candidature à l’élection présidentielle : celle de Jean-Luc Mélenchon. 
Majoritairement, nous avons fait barrage au FN, continuons ce combat pour empêcher ce parti de la haine, de la xénophobie, d’avoir des député-e-s. 
Face à l’ultralibéralisme de la droite et d’Emmanuel Macron, l’espoir commun ouvert par la mobilisation collective autour de Jean-Luc Mélenchon doit se concrétiser. 
Cet espoir commun, nous pouvons le faire entrer dans notre quotidien, en élisant un maximum de député-e-s communistes et du Front de gauche. 
Député-e-s qui s’opposeront à Emmanuel Macron, à son programme, facteur de casse du Code du travail, des retraites et des Services publics et qui rejetteront la gouvernance par ordonnances, véritable déni de la démocratie. 
Député-e-s qui porteront des propositions pour changer nos vies, aller vers une société de progrès social et écologique, plus humaine, plus citoyenne et plus juste. 
Le 11 juin, en votant Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy, vous confirmerez votre volonté de ne pas laisser à l’extrême-droite, à la droite et aux macronistes, les leviers de la politique nationale. 
C’est dire si votre bulletin de vote est précieux !

lundi 29 mai 2017

Un grand service public de l’art, de la culture et de l’éducation populaire

Le programme culturel d’Emmanuel Macron se résume à deux mesures, il est tout simplement consternant. il propose d’abord de maintenir le budget actuel de la culture et de créer un «pass culture » permettant à chaque français de dix-huit ans - 500 euros de dépenses culturelles (cinéma, théâtre, livres...) concernant le budget, déjà mis à mal sous le quinquennat Hollande, une simple stabilisation ne peut suffire. 
En ce qui nous concerne, nous voulons libérer l’imaginaire pour nous libérer de l’aliénation que nous impose le système dominant. 
Osons pour cela un nouveau rapport entre l’art, la culture et la politique en portant l’ambition de refonder un grand service public de l’art, de la culture et de l’éducation populaire. 
L’effort financier public de l’état et des collectivités territoriales en faveur de la culture doit être porté à 1% du produit intérieur brut. et la compétence culturelle doit être partagée entre l’État et les collectivités qui auront l’obligation d’investir dans la culture dans le cadre d’une augmentation des dotations de l’État. 
Quant au pass, il ne servira qu’à alimenter les industries culturelles et les têtes de gondoles pour permettre à chacune et chacun d’avoir envie de s’approprier, de partager l’art. 
Il faudrait plutôt, comme nous le proposons, d’une part construire un véritable maillage du territoire d’équipements culturels et d’artistes et d’autre part faire de l’éducation artistique un droit tout au long de la vie, notamment en permettant que chaque élève accède à des temps de pratiques aux côtés d’artistes. Qu’il soit initié aux langages artistiques et confronté aux œuvres, qu’au cours de sa scolarité obligatoire, il bénéficie, d’une année de forte option artistique, une fois par cycle (école élémentaire, collège, lycée) et en instaurant des enseignements artistiques obligatoires au lycée. 
Emmanuel Macron propose l’ouverture des bibliothèques en soirée et le week-end. Comment ne pas être favorable à une telle proposition ? 
Mais elle nécessite un véritable changement de cap en y affectant le personnel et les moyens correspondants, à savoir des postes pérennes nécessaires à un fonctionnement élargi des équipements. 
Au total, cette politique relève au mieux de l’affichage
Elle est à l’évidence inspirée par les ténors de l’industrie du divertissement et de la distribution de produits culturels. 
À l’heure où l’obscurantisme et le populisme se conjuguent au risque de formidables régressions sociales, la loi, devrait notamment garantir la liberté d’expression et de création pour les artistes et les acteurs culturels contre toute instrumentalisation politique ou religieuse et tout asservissement à une économie totalement marchande. 
L’art est invention et anticipation, il ouvre de nouveaux chemins à la liberté. 
Une politique culturelle doit se donner les moyens de l’appropriation et du partage par le peuple. de nombreux instruments de politiques publiques restent à inventer. 
Nous proposons de refonder un grand service public de l’art, de la culture et de l’éducation populaire et le faire avec l’ensemble des composantes du monde artistique, culturel et associatif, politique, syndical et citoyen. 
Nous proposons :  
  • L’organisation d’assises citoyennes, nationales et décentralisées pour élaborer, en lien avec un grand ministère de la culture aux missions transversales et interministérielles, une loi-cadre d’orientation et de programmation intitulée « Oser l’art et la culture », qui se substituera à celle qui vient d’être votée. 
  •  Pour un soutien renforcé et renouvelé à la création et à l’invention comme à une conception vivante du patrimoine, concernant toutes les disciplines artistiques : Garantie de la pérennité du régime paritaire et solidaire des intermittent-e-s du spectacle. 
  • Mise en place d’un plan de création d’emplois permanents et de sécurisation des parcours de formation et de professionnalisation des artistes et des acteurs-trices culturels. 
  • Redéfinition des missions des grands établissements de création et de diffusion. Pour développer le partage du sensible et de l’imaginaire au même titre que celui des savoirs et de la connaissance, fondement d’une culture commune indispensable au vivre ensemble, respectueuse de toutes les diversités, y compris les plus minorées.
La loi créera les conditions d’une véritable démocratie culturelle par l’éducation artistique à l’école, l’éducation populaire dans la cité, le retour de la culture au cœur du travail. Pour aider à la prise de conscience de l’enrichissement que constitue la rencontre et la relation entre les cultures, la loi favorisera l’ouverture au monde et la fabrique d’une mondialité culturelle. 
Pour garantir la responsabilité nationale de l’État et celle des collectivités territoriales, la loi définira les conditions d’une compétence partagée entre eux et 1 % du PIB y sera consacré afin de garantir une politique publique en faveur de la création et du patrimoine, de la démocratie culturelle et de l’éducation populaire.

dimanche 28 mai 2017

Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy pour une fiscalité équitable, plus de justice sociale

Le 9 mars 2017, Alain et Eric Bocquet ont consacré leur journée à l'Isère, autour de leur livre "Sans domicile Fisc", Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy ont tenu à être présents à leurs côtés !
 
Fiscalité trop injuste et fraude massive. 
200 milliards d’€ d’allègements et d’exonérations fiscales, auxquels s’ajoutent 80 milliards d’€ de fraude et d’évasion fiscale. 
Autant de moyens en moins pour nos crèches, nos écoles, notre Sécurité Sociale et équipements de nos communes. 
Le quinquennat de François Hollande a multiplié les niches fiscales et sociales pour les entreprises, notamment avec le CIR (5 milliards d’€/2015) et le CICE (19 milliards d’€/2016). Pour quel résultat ! 
  • Un chômage massif, 
  • des salaires bloqués, 
  • une fiscalité qui pèse lourd sur les familles et les petites entreprises. 
Et pour les plus riches, un bouclier fiscal, des rémunérations actionnariales en forte hausse (56 milliards d’€/2016), des profits record pour les entreprises du CAC 40 (74 milliards d’€/2016, +32 %). 
Ça suffit ! Assez de mots, des actes ! 
Inutiles, coûteux, ces cadeaux sont un gâchis d’argent public. Le déficit public n’est pas une fatalité. 
A l’Assemblée nationale, nous lutterons de toutes nos forces (comme l’ont proposé les Députés communistes - Front de Gauche) pour de nouveaux droits d’intervention des salariés dans les entreprises, pour réorienter l’argent vers les salaires, la formation et le développement des services publics. 
Avec Jean-Paul Trovero, Reprenons le pouvoir sur la finance et partageons les richesses ! 
Le libéralisme économique est de droite. Il crée depuis trop longtemps plus de pauvreté que de richesse. Député, je ne céderai jamais devant ce libéralisme qui est incapable de traiter les problèmes vitaux des populations. 
Face au président Emmanuel Macron, l'ancien banquier, ancien ministre de l’Économie et des finances de François Hollande, il est plus que jamais nécessaire de nous mobiliser pour une autre utilisation de l'argent, au service de l'intérêt général et des services publics. 
Ces milliards doivent être mobilisés pour l’Éducation nationale, le service public hospitalier, la justice, la solidarité, les collectivités locales… 
Luttons contre l'évasion fiscale par l'intervention citoyenne, en demandant des comptes aux grandes entreprises fraudeuses. Nombre d'entre elles ont des enseignes près de chez nous. C'est le cas de Mc Donald's, d'Apple… 
Nous payons nos impôts, exigeons que les multinationales en fassent de même ! Reprendre le pouvoir sur la finance pour partager les richesses 
Nous proposons : 
• Un pôle public bancaire pour prendre le pouvoir sur les banques Ce pôle public bancaire agira sur l'orientation des crédits et de l'épargne, en donnant des pouvoirs aux salariés et citoyens sur les orientations opérées par les banques. Il se constituera autour de la Caisse des dépôts, de la Banque postale avec la nationalisation de BNP-Paribas et de la Société générale. Contrôle des aides publiques octroyées aux entreprises et sélection démocratique des projets aidés.
• Nouveau rôle de la Banque Centrale Européenne et orientation des crédits bancaires en faveur de l’emploi, de l’économie réelle et de la transition écologique. 
• Une COP fiscale pour lutter contre l'évasion fiscale Moins de 2 % des flux financiers dans le monde ont un lien direct avec la production et l'échange de services. Exigeons une COP fiscale, à l'image de celle consacrée à l'environnement, réunissant tous les états, dédiée cette fois-ci à la finance et placée sous l'égide des Nations-Unies. Une résolution vient d'être adoptée par l'Assemblée nationale, sur proposition des députés communistes. 
Suppression du CICE, réforme de l’impôt sur les sociétés pour y intégrer les revenus financiers. 
• Instauration d’une contribution sur les actifs financiers des entreprises à hauteur de 0,5 %. 
• Plafonnement de la taxe d’habitation selon les revenus des familles. 
• Instauration d’une TVA à taux zéro pour les produits de première nécessité (pain, eau, lait...). 
• Plafonnement de la taxation des hydrocarbures pour une baisse du prix à la pompe. 
• Doublement des taux d’imposition à l’ISF et intégration des revenus du capital dans l’impôt sur le revenu, suppression progressive de la CSG. 
Augmentation immédiate des salaires dans le privé comme dans le public et augmentation du point d’indice dans la fonction publique. 
• Encadrement des rémunérations (échelle de 1 à 20), suppression des stock options et « parachutes dorés ». 
• Revalorisation des pensions de retraite (jamais inférieures au Smic). 
• Revalorisation des minima sociaux et indexation sur le Smic. 
• Renégociation de l’indemnisation du chômage pour que celle-ci ne soit jamais inférieure à 80% du salaire brut perçu au cours de l’activité antérieure.

vendredi 26 mai 2017

Pour le maintien des bureaux de poste à Grenoble manifestons le 1er juin 2017 à 17H

Manif 28 novembre 2009 Grenoble contre privatisation
C'est sous ce mot d'ordre que le collectif "j'aime ma Poste à Grenoble" a lancé une pétition:

Sauvons nos bureaux de poste à Grenoble 6 bureaux en danger ! 
La poste a fait le choix de la rentabilité financière, de la dégradation des conditions de travail de ses agents plutôt que celui du service public. De nombreux bureaux de poste ferment les uns après les autres et sont « transformés » en agences communales ou relais poste urbains avec moins de services. C’est une politique qui touche maintenant les grandes villes. 

Nous nous joindrons à la manifestation du jeudi 1er Juin 2017 à 17H, départ de la Poste République (vers la Maison du Tourisme) arrivée : direction de la Poste Bd Maréchal Lyautey à Grenoble

Les habitant-es se mobilisent !
Les bureaux de poste de quartier sont des Services publics d’État essentiels pour de nombreuses personnes, qui ont fait le choix de la Banque postale ou qui utilisent les services postaux comme mode de transmission de courriers ou de colis.
À Grenoble, les bureaux de poste restent des endroits très fréquentés, notamment par une population âgée mais pas uniquement, qui n’utilise pas beaucoup le numérique comme mode de communication avec leurs proches ou avec les administrations et par de nombreux habitants utilisant les services financiers de la Poste et pour les envois ou réception de colis ou courriers.
Nous sommes conscients que c’est une volonté de la Poste de fermer progressivement de très nombreux bureaux de poste, tant dans les secteurs ruraux, que dans les quartiers en proximité dans les villes.
Depuis quelques mois, des informations, toujours pas confirmées, indiquent que les bureaux de poste de l’Ile Verte, Championnet, Bajatière, Stalingrad, Eaux Claires et Grand Place seraient susceptibles de fermeture prochaine.
Ces dernières années, les services offerts dans les bureaux de poste se sont dégradés peu à peu : horaires de plus en plus restreints, personnel réduit, services non assurés (services aux professionnels, retrait des instances, services financiers…), fermeture « sauvage » par manque de personnel. Les usagers sont alors dirigés vers d'autres bureaux pour certains services.
Il est assez étonnant que la Poste, dans ces quartiers qui ont de nombreux clients à la Banque Postale et dont les guichets postaux sont très fréquentés, souhaite fermer ses bureaux de proximité.
Ces fermetures, qui n’ont d’autre objet qu’une recherche de rentabilité financière, sont de nature à faire baisser toujours davantage la qualité du Service Public D’État. La caisse d’assurance maladie a disparu de certains quartiers. Si la Poste disparaît, il ne restera plus que les banques privées comme service de proximité.
Nous considérons qu’il est inacceptable qu’un Service Public de proximité comme la Poste soit supprimé, au nom de la seule recherche de rentabilité.
Nous invitons tous les usagers de la Poste et les habitant-es à signer la pétition pour exprimer leur refus de ces fermetures des bureaux menacés, et le retour à un service postal de qualité dans ces bureaux, avec l'ensemble des services offerts, suffisamment de personnel et des horaires étendus.
Signé : Le collectif « J'aime ma Poste à Grenoble »
Habitants de Grenoble, Unions de Quartier Exposition Bajatière, Ile Verte, Championnet Bonne Condorcet Hoche, Collectif Départemental de Défense du Service Public de la Poste, Syndicats de la Poste CGT – SUD – FO

Annie David, Sénatrice communiste de l'Isère a interpelé le PDG du Groupe "La Poste"

Une réflexion est actuellement en cours par La Poste pour « faire évoluer la présence postale » à Grenoble.
Il est à craindre comme c’est le cas ces dernières années dans de nombreuses communes de l’Isère, que votre réflexion ne conduise à la fermeture de six bureaux de Poste, soit la moitié des bureaux de poste de Grenoble, privant les habitant-e-s de services essentiels parmi lesquels la Banque postale.
Je vous ai interpellé à plusieurs reprises sur la dégradation de la qualité des services ainsi que des conditions de travail des postiers, dénonçant la stratégie engagée par votre groupe pour justifier le démantèlement du réseau public de la Poste et développer des services onéreux pour les usagers en particulier via la dématérialisation.
Cette stratégie est d'autant plus contestée qu’elle déstructure nos territoires et contribue à creuser les inégalités tant sociales que territoriales. Elle est d’autant plus inacceptable que la Poste a bénéficié de 900 millions d’euros de CICE en 3 ans qui lui ont permis de développer ses secteurs les plus rentables.
Mais loin d'améliorer le service rendu votre groupe a supprimé 21.000 emplois nets, multiplié les embauches en CDD, 70% en 2015, multiplié par cinq la sous-traitance en dix ans. Et le fonds de péréquation territorial alimenté par l'abattement de taxes locales, alloué pour organiser la présence de La Poste, subvention de 174 millions d'euros par an, sert aujourd'hui à fermer des bureaux de poste en passant outre l’avis des assemblées communales. 
La mobilisation des usagers est forte pour le maintien des bureaux de poste à Grenoble et pour la défense du réseau postal sur le département, soutenue par de nombreux élu-e-s. 
Je tiens à réaffirmer mon opposition à toute fermeture de bureau de poste et je vous demanderais, Monsieur le Président de prendre enfin en compte les besoins des usagers et d'entendre les élu-e-s.

2017, pas sans les jeunes, avec la Charte faisons grandir les exigences !

Lors de la lutte contre la loi travail, les jeunes se sont largement mobilisés. Et leur combat n'est pas fini puisque Emmanuel Macron veut aller encore plus loin dans la casse du code du travail. Et de casse de leur avenir.
Le précédent gouvernement s'est montré sourd à leurs attente. La priorité jeunesse est bel et bien passée aux oubliettes. La jeunesse n'a rien de bon à attendre de Macron et de son gouvernement qui ne promettent qu'une dégradation de leur protection sociale et des emplois précarisés, ubérisés.
Les jeunes sont force de propositions, comme le montre la charte signée par plus de 10 organisations de jeunesse qui dessine un projet de société refusant les dérives réactionnaires et de rejet de l'autre pour mettre fin à toutes les discriminations et inégalités (de genre, d'orientation sexuelle, de confession, d'origine, ou encore liées à la précarité sociale, etc.)  
Un droit à la Formation pour tou.te.s
La formation est un passage nécessaire pour tous. Nous nous formons pour construire notre avenir, à travers l’obtention de qualifications permettant de travailler, et aussi pour nous émanciper. Si nous sommes tous capables, nous ne sommes malheureusement pas tous égaux dans le système scolaire actuel. Le droit à l’éducation doit être sanctuarisé face aux tentatives de le restreindre (augmentation des frais d’inscription, sélection…).
  • Un revenu pour tous les jeunes en formation pour vivre dignement. 
  • Création d’un véritable service public de l’orientation doté de moyens matériels et humains à la hauteur des enjeux pour permettre à chacun de construire son avenir comme il l’entend. 
  • Mettre fin à la sélection en garantissant l’accès à des formations publiques diversifiées sur tout le territoire (créations de filières, ouvertures d'options…) par des budgets à la hauteur des besoins et la gratuité du matériel.  
Un Travail digne et des emplois de qualité
Il existe de nombreux contrats de travail ou dispositifs spécifiques pour les jeunes, où on est moins payé et où on a moins de droits que les autres salariés (contrat d’apprentissage, de professionnalisation, de génération, stages, emplois d’avenir, services civiques, etc.). A cela s’ajoute un taux de chômage historique et une exclusion des jeunes privés d’emploi de la plupart des dispositifs de solidarité, comme les minimas sociaux par exemple. 
  • Garantir l’accès à l’emploi stable et de qualité pour tous, notamment en diminuant le temps de travail via la semaine de 32 heures, en augmentant les salaires et en faisant du CDI la norme d’embauche plutôt que les contrats précaires et spécifiques afin que tous les jeunes entrent dans le droit commun.
  • Salaire à la hauteur du poste occupé pour les stagiaires, apprentis et alternants, et prise en compte de la qualification dès le premier emploi à l’issue de la formation.
  • Aucun jeune privé d’emploi digne ne doit se retrouver à l’écart des droits existants ou à conquérir. Accès des moins de 25 ans à des minimas sociaux revalorisés et reconnaissance d’un réel droit au retour à la formation, garantissant l’accès à l’emploi. 
 Un doit aux transports et au logement autonome 
Qu’il s’agisse de se déplacer ou de se loger, nos besoins doivent trouver une réponse, pour ne laisser aucun jeune sur le bord du chemin. Le secteur marchand est incapable d’y répondre efficacement, comme en témoigne par exemple la spéculation immobilière. 
  • Construction et rénovation prenant en compte l’environnement (isolation thermique, norme environnementales…) de logements CROUS à proximité de tous les sites universitaires et construction de logements sociaux à la hauteur des besoins. 
  • Se loger est un droit : réquisition des logements vides (loi de 1945). 
  • Gratuité d’accès aux transports en commun, faciliter la mobilité nationale des jeunes. 
Agir pour la Santé et la Prévention 
Un jeune sur trois renonce aux soins faute de moyens. Pourtant la précarité que nous subissons nous expose à plus de risques, notamment à travers notre cadre de vie et nos modes de consommation. De plus on observe des reculs dangereux en matière de prévention et d’éducation à la santé, notamment dans les régions gouvernées par la droite. 
  • Garantir l’accès à une nourriture saine et produite localement dans le respect de l’environnement et des convictions de chacun, notamment via la restauration scolaire. 
  • Accès libre et gratuit à la santé: maintien et création de centres de santé. 
  • Maintien et développement des centres de planification et des centres IVG afin de garantir un droit réel à l’IVG ainsi qu’une véritable politique publique de prévention (sexualité, pratiques à risque, etc.)  
Garantir une protection sociale de qualité 
De nombreux jeunes ne bénéficient pas pleinement de la sécurité sociale, soit parce qu’ils sont en formation, soit parce qu’ils sont précaires et exclus. Cela se développe du fait d’un accès de plus en plus tardif à l’emploi stable, reculant ainsi toujours plus l’autonomie des jeunes. 
  • Garantir un droit effectif d’accès à la sécurité sociale pour les jeunes en dehors de l’emploi. 
  • Prise en compte des années d’études dans le calcul de la retraite. 
  • Remboursement à 100% des soins, médicaments et de la contraceptions par la sécurité sociale. 
Permettre l'accès de Tou.te.s à la Culture et au sport
La culture et le sport ne sont pas des luxes, ce sont des droits. Chaque jeune doit y avoir accès pour développer ses capacités et s’exprimer. Les loisirs sont également essentiels pour se construire et ne peuvent être réservés à une élite.
  • Assurer un accès à tous : des pass loisirs/culture nationaux.
  • Pour garantir le droit aux vacances: dispositif billet vacances/loisir SNCF.
  • Assurer l’accès à tous au sport via des aides financières
Lutter contre les discriminations et pour l'Égalité
Nous refusons le climat de division qui règne dans le pays et sur lequel surfent la droite et l’extrême droite. Il y a urgence à rompre avec les inégalités et à lutter contre toutes les discriminations. De plus nous voulons être considérés comme des citoyens à part entière et gagner de réels pouvoirs d’intervention.
  • Lutter contre les contrôles au faciès: instauration d’un récépissé de contrôle d’identité.
  • Pour la démocratie et contre la violation de nos libertés: fin de l’état d’urgence.
  • Régularisation de tous les sans papiers.
  • Droit de vote à partir de 16 ans, quelque soit notre nationalité.
  • Lutter efficacement contre l’orientation genrée et inscrire l’égalité salariale femme/homme dès l’entrée dans l’emploi.
Défendre la Paix et la Solidarité internationale
 Notre pays porte une responsabilité sur le plan international dans la logique guerrière qui est à l’œuvre. C’est notamment le cas dans le cadre de l’OTAN (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) ou au sujet de la Palestine. Il est urgent d’agir pour une culture de paix et d’investir pour nos vie plutôt que dans la guerre.
  • Créer des conditions d'accueil digne des migrants et des réfugiés (économiques, climatiques, de guerre…).
  • Agir pour que la France soit une force de paix dans le monde notamment via la reconnaissance de l’État Palestinien.

jeudi 25 mai 2017

30 Mai, 7 Juin à Grenoble, vos candidats viennent à votre Rencontre, venez débattre


https://drive.google.com/file/d/0B4leeFzqcAvtZERyWFo0NzlROEU/view?usp=sharing


VOS CANDIDATS VIENNENT
À VOTRE RENCONTRE


JEAN-PAUL TROVERO
SOPHIE MAZENOT-CHAPPUY
 
VIGNY-MUSSET
ESPACE PARTAGÉ VIGNY-MUSSET
13, RUE GUY MÔQUET (GRENOBLE)
MARDI 30 MAI
18H30

MISTRAL - EAUX CLAIRES
MDH - LE PLATEAU
74, RUE ANATOLE FRANCE (GRENOBLE)
MERCREDI 7 JUIN
20H
VOS CANDIDATS VIENNENT
À VOTRE RENCONTRE

mardi 23 mai 2017

Nous sommes la force utile au changement

Rencontre débat commun de la 3ème et la 4ème circonscription, ce 23 mai 2017, à Fontaine. Nous avons choisi d'innover, pas d'introduction, ou de discours pour mettre au pas l'assistance, simplement une présentation des territoires de chacune des 2 circonscriptions qui coupent la ville de Fontaine en deux et quelles candidatures de rassemblement présentées. Un sacré défi qui s'est soldé par une interaction entre la salle et nos 4 candidat-e-s pendant presque 2 heures. A la fin des signatures de notre appel à voter, des forces nouvelles qui s'impliqueront dans la bataille sur les 17 jours à venir. A partir de ces échanges, j'ai prévu de réaliser une douzaine de vidéos qui montreront l'utilité de disposer de nombreux élu-e-s communistes à l'Assemblée nationale. Nous sommes la force utile au changement !

23 mai 2017, 18H30 venez débattre avec vos candidats



A Fontaine le 23 Mai : Rencontre publique avec les candidat-es de la 3è circonscription de l'Isère (Fontaine-Sassenage) : Jean-Paul TROVERO, maire de Fontaine, candidat titulaire & Sophie MAZENOT-CHAPPUY, candidate suppléante ;
et les candidat-es de la 4è circonscription de l'Isère (Fontaine-Seyssinet-Vercors) : Myriam MARTIN, candidate titulaire & Laurent JADEAU, candidat suppléant.

lundi 22 mai 2017

Profession de foi de Jean-Paul Trovero et de Sophie Mazenot-Chappuy

Télécharger la Profession de foi
Madame, Monsieur, 
Le 11 juin nous avons une nouvelle chance de décider de notre avenir. Au second tour de la présidentielle, nous avons été des millions à être privés d’un vrai choix. Nous avons fait barrage au FN. Tant mieux. Nous devons continuer ce combat pour empêcher le parti de la haine, de la xénophobie, d’avoir des représentants à l’Assemblée nationale. 
Face à Emmanuel Macron et son programme ultralibéral, facteur de casse du Code du travail, des retraites et des Services publics, l’espoir commun ouvert par le vote pour Jean-Luc Mélenchon dont je suis fier dès la première heure d’avoir parrainé la candidature doit se concrétiser. 
Cet espoir commun, nous pouvons le faire entrer dans notre quotidien en faisant élire un maximum de député-e-s qui s’opposeront aux choix libéraux de Macron, de la droite et du FN. Député-e-s qui seront porteurs de propositions pour changer nos vies, aller vers une société de progrès social et écologique, plus humaine, plus citoyenne et plus juste ! 
C’est tout le sens de ma candidature ! Homme d’expérience et de terrain, soutenu par le PCF, des forces progressistes, écologistes, citoyennes et des élus de la circonscription, je porterai à l’Assemblée les aspirations du peuple et d’une gauche nouvelle rassemblée.
Jean-Paul TROVERO 

Ci-dessus la liste des 20 élu-e-s de l'Isère qui ont parrainé la candidature de Jean-Luc Mélenchon pour lui permettre d'être candidat à l'élection présidentielle.  Les noms surlignés en rouge sont ceux de l'Association des élus communistes et républicains.

samedi 20 mai 2017

Déambulation à la Villeneuve et marchés avec Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy

Un samedi de forte présence sur le terrain, où nous avons noué de larges débats : le matin sur le marché de Saint Bruno à Grenoble avec Sophie Mazenot-Chappuy et sur celui de Marcel Cachin à Fontaine avec Jean-Paul Trovero, et l'après-midi pour une déambulation sur le quartier de la Villeneuve de Grenoble.
A Fontaine, Yannick Boulard, Président de notre comité de soutien a tenu par son implication à montrer en quoi, le vote pour les candidats communistes était la clé de la réussite pour une politique de gauche, n'hésitant pas à dire combien il était utile de participer à la Rencontre-débat du Mardi 23 Mai à 18H30, salle du Centre social Romain Rolland.
A la Villeneuve, nous avons noté l'élan d'un citoyen nous demandant de lui laisser un bon paquet de tracts parce qu'il connaissait du monde et qu'il se faisait fort de les convaincre à voter pour Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy.
Demain, les militant-e-s, les citoyen-nes engagé-e-s dans la campagne se manifesteront en différents points sur Fontaine et Grenoble.

vendredi 19 mai 2017

Faire de l'accès au sport pour toutes et tous une des priorités

Pour cela, porter au sommet de la République une loi pour le sport pour toutes et tous, une loi qui redonne une place centrale aux activités physiques et sportives dans la société. 
L'esprit de cette loi est simple : le sport n'est pas une marchandise, c'est un droit. 
Cette loi comportera quatre objectifs phares. 
1) Développer encore plus l'éducation physique et sportive de l'école à l'université pour que le sport soit un droit, il est essentiel de développer l'éducation physique et sportive gratuite et obligatoire tout au long du parcours scolaire. 
La loi doit garantir au moins 4h hebdomadaires d'EPS en maternelle et en primaire, recruter les professeurs d'EPS nécessaires pour que les 3 à 5h d'EPS obligatoires soient garanties pour tous les élèves du collège à l'université. La loi doit développer le sport scolaire, avec dans chaque établissement la création et le soutien d'une association sportive affiliée aux fédérations du sport scolaire. 
2) démocratisation des pratiques sportives Pour que le sport soit un droit effectif, accessible à toutes et tous, il faut réduire le coût qui repose essentiellement sur les familles. 
Nous proposons d'aller progressivement vers la gratuité des activités physiques et sportives en développant avec les collectivités territoriales une offre d'activité physique et sportive de base en reconstruisant "un service public sportif de proximité", accompagné d'une augmentation du financement public des associations pour faire baisser le coût de la licence l'indexant sur le quotient familial. 
Nous proposons de créer un statut du bénévolat associatif qui permettrait une reconnaissance formelle au sein de la société, lui donnant du temps et des moyens pour exercer son engagement et inciter davantage de citoyen-n-es à s'engager. 
Les salariés engagés dans le bénévolat disposeraient d'un volet d'heures prélevées sur leur temps de travail au même titre que le mandat syndical. 
Pour extirper les bénévoles de la "paperasserie" qui envahit leur quotidien, l'État et les collectivités territoriales simplifieraient les demandes de subventions et créeraient un corps de professionnels chargé d'aider les clubs dans leur projet associatif. 
3) libérer le sport de la loi du fric en augmentant le financement public et en renforçant la citoyenneté sportive 
Suite aux différents scandales de corruption, de fraude et d'évasion fiscale, l'État doit engager une grande opération nationale de transparence sur l'origine et la répartition des sommes en circulation dans le monde du sport professionnel. L'ampleur des trafics financiers est telle que pour stopper ce phénomène la création d'une agence mondiale de lutte contre la corruption dans le sport s'impose. Mettre fin aux exonérations fiscales lors des manifestations sportives internationales. 
Relever le financement national par le doublement immédiat du budget de l'État consacré aux activités physiques et sportives pour aller jusqu'à 1% du budget en 5 ans (3 milliard d'euros). 
Mettre fin aux partenariats public-privé (PPP) et au "Naming" des équipements sportives et compétitions sportives. Garantir la maitrise publique des équipements et associer les citoyens à leur gestion et leur animation. 
Mettre en débat une "nouvelle citoyenneté sportive" en accordant de nouveaux droits d'intervention aux licenciés sur l'organisation de leur sport et vivifier la démocratie sportive. 
4) reconstruire un service public du sport de proximité Une nouvelle étape de la décentralisation s'impose en renforçant le rôle des collectivités territoriales et le rôle des associations dans le développement du sport pour toutes et tous. 
Le manque d'équipements sportifs freine indéniablement le développement du sport pour toutes et tous. La priorité sera la création d'un plan national pour le développement des équipements sportifs, soutenu par un fonds national pour aider les collectivités territoriales à financer la rénovation des installations existantes et les nouvelles réalisations. 
L'objectif sera d'équiper le territoire en équipement sportif à moins de 20 Minutes des écoles, lieux de travail et des habitations pour mieux inscrire la pratique dans la vie quotidienne de chacun-e. Cette mesure répondrait à une règle déjà connue mais non appliquée : le code de l'Éducation Nationale qui demande aux collectivités territoriales de prévoir les équipements nécessaires pour l'enseignement de l'EPS.

mercredi 17 mai 2017

Scolarité obligatoire de 3 à 18 ans pour apprendre, se construire par Candie Callu

EPI, UPE2A, … des mots et sigles qui parlent… de l’école ! Et surtout du second degré. Un point commun : le temps. 
Donner du temps aux élèves pour apprendre, des individus aux besoins différents pour lesquels les enseignants doivent trouver des manières d’enseigner adaptées. 
Dans mon collège Lucie Aubrac, l’équipe pédagogique le vit au quotidien. Et pour cela, les enseignants aussi ont besoin de temps : échanger sur les pratiques, construire autant les cours que les réponses possibles devant des situations difficiles. « Croiser, mélanger les disciplines » pour « donner du sens », rapide définition des E.P.I. (Enseignements Pratiques Interdisciplinaires), un des points phares de la dernière réforme, ça sonne bien ? ! Oui, mais seulement avec du temps ! 
Donc une scolarité obligatoire de 3 à 18 ans où des élèves ont le temps d’apprendre, de se construire des savoirs, des savoirs faire et savoir être avec un esprit critique éveillé. 
L’égalité des chances ne veut pas dire uniformité des pratiques mais surtout attribution des moyens en fonction des besoins avec pour boussole, une ambition forte pour chaque élève. 
Parmi eux, les élèves étrangers qui arrivent sur notre territoire pour diverses raisons : ils ont désormais une année pour bénéficier de français intensif où l’inclusion dans les cours ordinaires est fortement poussée…L’année d’après, c’est la classe ordinaire. 
Vous vous voyez débarquer en Tchétchénie ou Algérie et suivre les cours dans la langue du pays au bout des 9 mois de collège ? Enfin, n’oublions pas un mur à briser : la politique du logement de la ville impacte directement les vies dans les établissements scolaires, tant dans les ambiances que les résultats scolaires. 
La mixité sociale à l’école augmente les chances d’en tirer profit, alors il faut forcément s’attaquer de concert aux chantiers école ET logement. La mixité sociale ne se décrète pas seulement, tel celui du 5/07/2014 qui est à l’image des décisions sociales démocrates du PS et de ses avatars macroniens : à la moitié du gué… A nous de ne pas faire les choses à moitié ! 
Candie Callu

mardi 16 mai 2017

L’industrie française est en déclin depuis plusieurs années par Alexis Mazza

En 2013, Pierre Gattaz avait promis un million d’emplois. 4 ans plus tard, le patron des patrons a retiré son badge "un million d’emploi", des milliards d’argent public ont été perdus dans le cadre du CICE, et toujours pas de baisse du chômage. 
L’état de l’industrie en France est sans appel. 
L’industrie française est en déclin depuis plusieurs années, dépassant à peine 10 % du PIB en 2016, contre 16 % en moyenne dans la zone euro. 
A Caterpillar FSAS, depuis 2011, il n' y a plus d'embauche en CDI, seulement des CDD, des Intérimaires, même des contrats d'aide à l'embauche, des alternants, des stagiaires, des sous-traitants à longueur d'année sur le site. Depuis 2009 et après plus de 733 licenciements secs, chaque année commence avec des départs volontaires demandés aux salariés. 
En 2009 nous étions près de 3 000 salariés. Aujourd'hui nous sommes 1 500 salariés. Malgré des dividendes records, CAT INC a fermé une trentaine de site dans le monde, pour toujours donner plus aux actionnaires. 
La France a besoin d’une industrie et de services publics forts répondant aux besoins de la population et qui assurent un développement économique équilibré des territoires, la création d’emplois et le progrès social pour tous. 
Mazza Alexis. Secrétaire Général CGT Caterpillar France SAS.

dimanche 14 mai 2017

Sur le marché de Fontaine: populariser la réunion du 23 mai 2017 salle Romain Rolland

Ce dimanche 14 mai, vous avez pu rencontrer de nombreux militants communistes sur les marché de l'Estacade et de Saint Bruno à Grenoble, sur le marché Marcel Cachin de Fontaine.
Sur le marché de Fontaine, nous avons diffusé le flyer annonçant la réunion commune des 3ème et 4ème circonscriptions, ainsi que le tract d'annonce des candidatures, selon les lieux d'habitation des personnes rencontrées.
Nous remercions pour leurs participations, Laurent Jadeau, suppléant de Myriam Martin sur la 4ème circonscription, ainsi que Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy, candidats sur la 3ème circonscription.
Des signatures d'appels à voter ont été recueillies à cette occasion.
Cette réunion publique concerne les différentes communes de la rive gauche du Drac, elle aura lieu le:
 Mardi 23 mai à 18H30, salle Romain Rolland de Fontaine.

samedi 13 mai 2017

Déambulation au village Olympique avec Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy

Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy, à l'initiative du collectif Quartiers populaires de la fédération de l'Isère du PCF, avaient donné rendez-vous au comité de campagne à 14H devant la MJC Prémol à Grenoble, pour déambuler dans ce quartier populaire, ses espaces récréatifs et sportifs.
Pas moins d'un douzaine de militant-e-s présent-e-s, ont noué de nombreux contacts au fur et à mesure de l'avancée des candidats.
Des questions sur les alliances à gauche, avec par exemple la réaction de cette personne disant:" je ne comprends pas, vous avez soutenu Jean-Luc Mélenchon depuis très longtemps, vous êtes le candidat légitime. Pourquoi avez-vous d'autres candidats contre vous ? ". Jean-Paul Trovero a rappelé tous les efforts faits pour le rassemblement des forces de gauche et de l'écologie, en précisant que cette situation était dommageable pour le peuple !
Hasard des rencontres, un militant turc qui se mêlera au groupe et l'accompagnera tout au long de ce périple.
Nos candidats ont tenu à aller rencontrer les clients et les gérants des bars. Dans l'un d'eux, Jean-Paul Trovero a rencontré 2 kurdes grévistes de la faim, il y a de nombreuses années, en choisissant la ville de Fontaine qui avait mis une salle à leur disposition. Ils ont fait la promesse de s'impliquer fortement dans cette bataille des législatives.
En prime, le patron de ce bar, nous offrira le café ! 
Plus loin, de nouvelles rencontres avec des jeunes nous informant de leur demande à bénéficier d'une salle mise à leur disposition au sein de ce quartier, mais en vain. Jean-Paul Trovero expliquera la démarche initiée sur la ville de Fontaine, avec présentation d'un dossier de projets et responsabilisation de leurs auteurs.
Nous voici parvenus dans le secteur des jardins partagés, avec des personnes nous assurant qu'elles appréciaient notre démarche, l'une d'elles demandant à être prise en photo avec le candidat.
L'heure avançant, nous avons longé le stade pour encore de nouveaux débats avec les personnes venues encourager leur équipe de football.
Au final, cette excellente initiative du collectif "quartiers populaires" aura été aussi bénéfique que plusieurs porte à porte. Nous avons décidé de la renouveler !
Il était temps, puisque vers 16H, il s'est mis à pleuvoir des cordes. 
Finalement, cette information ne nous concernera pas, Jean-Paul Trovero a bien parrainé Jean-Luc Mélenchon, tout comme David Queiros dans la 2ème circonscription. L'un et l'autre ne sont pas députés sortants !
 

jeudi 11 mai 2017

Journal de campagne 3ème circonscription avec Jean-Paul Trovero et Sophie Mazenot-Chappuy


https://drive.google.com/file/d/0B4leeFzqcAvtcTVCN2hKUjVmM2s/view?usp=sharing


Bientôt à votre disposition, sous la forme papier, un nouveau matériel avec ce 4 pages programme, alliant des témoignages, l'action des députés communistes et Front de gauche à l'Assemblée nationale sur le mandat qui s'achève ainsi que des propositions pour redonner de l'espoir à notre peuple.
Découvrez le, dès aujourd'hui sur notre blog de campagne, téléchargez-le, en cliquant sur l'image ci-contre !

jeudi 4 mai 2017

Fontaine: deux circonscriptions mais une même volonté de transformer l'essai !

Mercredi 3 mai 2017, nous avons invité les médias à une conférence de presse. Pour les auditeurs ou les téléspectateurs, ce sera silence radio ou télévisuel ! La presse locale nous a informé qu'elle ne couvrait que la présentation ou la fusion de candidatures.
Nous avons retrouvés aux côtés de Myriam MARTIN et Laurent JADEAU, candidats de la 4ème circonscription, Jean-Paul TROVERO, Maire de Fontaine et candidat sur la 3ème circonscription, Khadra GAILLARD, Conseillère départementale sur le canton Fontaine-Seysinet.
Fontaine est une ville de moins de 23 000 habitants qui a été coupée en deux depuis le charcutage des territoires en vue des élections législatives de 1988, par Messieurs Chirac et Pasqua.
De 1967 à 1968 et de 1973 à 1986, Fontaine faisait partie de la 3ème circonscription de l'Isère et a eu pour député, son Maire, Louis Maisonnat.
Le 23 avril dernier, lors du premier tour de l'élection présidentielle, avec 30,15% des suffrages exprimés, notre candidat, Jean-Luc Mélenchon est arrivé très largement en tête. A l'occasion des élections législatives, nous sommes habités par la même volonté de transformer l'essai.
Fontaine et une ville à direction communiste qui innove et se bat ! 
En octobre 2015, pour protester contre la baisse des dotations de l’État, de 2 millions d'euros de 2015 à 2017, soit l'équivalent d'une augmentation de 20% des impôts locaux, le Maire Jean-Paul Trovero et sa majorité avaient donné rendez-vous aux fontainois pour cette inauguration funeste, sur le Parvis de l'Hôtel de ville.
La défense du Service Public, n'est pas un vain mot, ce sont des actes, comme le montre la vidéo ci-dessous !